• Touch S1E2 "1+1=3"

    TV (Fox) : 22 mars 2012 (Saison 1, Episode 2)

    M6 : 14 septembre 2013

    Réalisateur : Ian Toynton

     Scénariste : Tim Kring

    Guest : Jude Cicollela, Mike Novick de 24 !! (Arnie Klepper)

    Amy Sloan : Becca Klepper

     

     

     

    Synopsis : après avoir réussi à communiquer pour la première fois avec son fils, Martin Bohm se rend dans une boutique où un braquage a lieu et qui déclenche une chaine d’évènements à laquelle est liée une hôtesse de l’air, un jeune homme venu d’Inde, un adolescent de Moscou, un patient cancéreux et un mafieux dans le Bronx.

    Jake challenges his father to follow the links after a robbery in a pawn shop connects a frantic flight attendant who is chasing a lost dog at the airport, a young man from India who wants to spread his father's ashes at a baseball field, a magician in a middle school in Moscow who doesn't understand why has has no friends, a cancer patient in New York City, and a mobster in the Bronx.

     

    Cette semaine, nous sommes, tout comme l’épisode précédent, face à 4 intrigues différentes. Globalement, on suit un homme malade condamné à mourir qui souhaite mettre en scène sa mort lors d’un pseudo cambriolage, l’homme (le cambrioleur) qui fait affaire avec lui, un homme venu d’Inde pour répandre les cendres de son père décédé au milieu d’un stade, une hôtesse faisant connaissance avec lui et enfin une famille russe (on suit parallèlement un fils et son père). Sans dévoiler une nouvelle fois l’issue de l’histoire, il faut reconnaître que le scénario est très bon, même s’il est quelque peu tiré par les cheveux. Disons que le mieux pour suivre la série Touch, c’est de ne pas commencer à être tatillon sur les détails. On pense notamment au fait que le chiffre du jour qui intrigue Jake (le nombre 5296) désigne à la fois un code de sortie d’un établissement, l’inscription sur une batte de baseball, un numéro de chambre… etc. Tout cela paraît gros et pas très crédible mais cela est nécessaire afin de finalement lier par les chiffres les 4 intrigues. Précisons tout de même qu’une référence à l’épisode 1 a été placée, puisque le nombre au dessus de la porte du magasin du vieil homme indiquait "318", le nombre qui était au centre de l’épisode 1. Amusant que les scénaristes fassent un petit clin d’œil, permettant succinctement et symboliquement de lier chaque épisode avec le précédent. melty.fr

     

    Audiences US :  

    Pour son deuxième épisode, Touch, avec Kiefer Sutherland dans le rôle principal, a confirmé les bons débuts de son pilote diffusé il y a deux mois : en janvier dernier, Touch avait séduit une bonne partie du public américain en attirant 11.9 millions de téléspectateurs (3.9%). Après la rediffusion du pilote la semaine dernière, FOX proposait enfin ce jeudi le deuxième épisode. Précédée d'American Idol (15 millions, 4.0%), la série confirme ses bonnes dispositions en rassemblant 11.7 millions de téléspectateurs et 3.2% sur les 18/49 ans. De bons scores qui lui permettent de prendre la tête de sa case horaire.

     

    En France, la série est diffusée le 14 septembre 2013 sur M6 avec 3 épisodes à la suite :

    TF1 est le petit leader de la soirée. La chaîne qui proposait un nouveau prime de Ce soir tout est permis avec Arthur a rassemblé 4 175 000 amateurs pour 21.2% de part d'audience.

    France 2 affiche de son côté au compteur 3 548 000 téléspectateurs soir 17.1% de part d'audience grâce au divertissement Hier encore.

    M6 complète le podium avec la série Touch qui a intéressé 3 540 000 curieux pour 16.2% de part d'audience pour le premier des trois épisodes de la soirée.

     

    Juste après, la diffusion de « 1+1=3 » a permis à M6 de conserver l’attention de 3.44 millions d’amateurs. Au niveau de sa part de marché globale, la série américaine a affiché 16.4%.

     

    En fin de soirée, Kiefer Sutherland était toujours en présence de 2.96 millions de Français avec « A l’abri ». Touch a terminé ce samedi soir avec 18.1% du public. M6 a pris la deuxième place du tableau final, après avoir été au coude à coude avec France 2 jusqu’à la fin du divertissement. toutelatele.com

     

    22 mars, Kiefer Sutherland has admitted he felt a sense of "panic" because he wanted his new show, Touch, to do well. Kiefer Sutherland a admis qu'il éprouvait un sentiment de «panique» parce qu'il voulait que son nouveau show, Touch, marche bien.

    Kiefer Sutherland remercie les fans sur twitter @RealKiefer 23 mars :

    « For those of you who watched @TOUCHonTV last night, thank you so much for the support! Hope you enjoyed it ».

    « Pour ceux d’entre vous qui ont regardé Touch la nuit dernière, merci beaucoup pour votre soutien! J’espère que vous avez appréciez »

     

     Sneak Peek: "1+1=3"

     
     Photos promo

     Touch S1E2 "1+1=3" Touch saison 1  Touch saison 1 

    Touch saison 1 Touch saison 1 Touch saison 1 Touch S1E2 "1+1=3"

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    Touch S1E2 "1+1=3" Touch S1E2 "1+1=3" Touch S1E2 "1+1=3"  Touch S1E2 "1+1=3"

    Touch S1E2 "1+1=3" Touch S1E2 "1+1=3" Touch S1E2 "1+1=3"  Touch S1E2 "1+1=3"

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    Take a behind the scenes look at the "1+1=3" episode

    Touch S1E2 "1+1=3"

     

    Los Angeles, décembre 2011

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    Après le pilote diffusé mercredi 25 janvier sur la Fox, Touch reviendra le 22 mars avec ce nouvel épisode.

    - Qui êtes-vous ?- C'est plutôt difficile à expliquer mais d'une certaine façon, je peux vous aider. 

    Kiefer Sutherland est de retour

     - Vous ne pouvez pas vous précipiter à chaque fois que vous pensez l'entendre vous appeler. Vous avez aussi une vie.

     - Je vois des nombres. Des nombres. 

    - Quand Jake regarde ça, il voit l'univers tout entier. 

    Un père ne reculera devant rien...

     - Je crois que tout ça nous dépasse. 

    - Il a besoin de moi.

     Pour rétablir les liens... 

    - Donne moi une sorte d'indication, n'importe quoi, un indice, s'il te plaît. 

    Dénouer le mystère...

     - Mon fils, je crois qu'il voit ce que vous voyez.

     - Il veut que vous arrêtiez la douleur. 

    … et changer le futur. 

    - Il était une fois un chevalier invisible qui servait un roi muet. Et ensemble ils aidaient des gens qui ne savaient même pas qu'ils étaient là. 

    Traduction Virginie

     

     

     

    Dans quel sens l’épisode 2 va-t-il Crave Online (TCA Tour janvier 2012) ?

     Kiefer Sutherland: Eh bien, vous verrez, mais littéralement  mon personnage se bat contre  les services à l’enfance, qui tente d’emmener son fils loin de lui. Dans un effort pour communiquer avec son fils, il commence à isoler des chiffres et mon personnage commence à comprendre très rapidement ce qu’il cherche à expliquer. Par exemple, si le nombre 222 apparait (ce qui se passe dans l’épisode que nous tournons en ce moment), je vais sortir de l’immeuble où je suis, je vais aller à l’épicerie, je vais faire mes courses, je vais voir un taxi et je vais voir ce nombre parce qu’il m’a été donné. Je vais voir que numéro du taxi est 222, celui que je cherche. Puis je réalise que je suis censé être dans ce taxi et ensuite je dois attendre de voir ce qui se passe. Ce qui est ironique ou drôle, ce sont les moments où j’attends que quelque chose se produise. Je sais [que] quelque chose va arriver, mais  peut-être que je regarde la mauvaise personne.

     

     

    Plusieurs critiques de l'épisode 2 :

    Le retour de Touch, la série portée par Kiefer Sutherland (le héros de 24h chrono) était particulièrement attendu, jeudi soir, par les téléspectateurs de la Fox. Il faut dire que la chaîne de télévision américaine avait tout fait pour mettre l'eau à la bouche à son public en attendant deux mois avant de diffuser le deuxième épisode des aventures de Martin Bohm, un père célibataire, incapable de dialoguer avec son fils de 11 ans depuis le décès de son épouse. Une stratégie rondement menée puisque 11,7 millions de téléspectateurs étaient présents devant leur petit écran. Pour rappel, le pilote diffusé en janvier dernier avait été particulièrement bien accueilli. Il avait séduit plus de 11,9 millions de personnes. Une belle performance qui permet à la Fox de prendre la tête des audiences sur cette case horaire. francesoir.fr

       Touch S1E2 "1+1=3"

      Après le pilote qui posait la formule du show, le second épisode de Touch est une mise en pratique assez mécanique qui repose quasi entièrement sur les épaules de son acteur principal, Kiefer Sutherland.

    Le plus gros problème de la série, et qu’il va falloir qu’elle résolve assez vite, est incarné par Jake, le fils de Martin. Désespéré de pouvoir communiquer avec lui, ce dernier cherche du mieux qu’il peut à comprendre ce qu’il doit faire, si ce n’est que ses actions n’ont pas tout de suite un sens. Il arrivera sûrement à un moment dans le show où il n’en verra pas forcément les résultats et ceux-là ne seront peut-être pas bons. Mais, pour le moment, et légitimement, il se questionne sur son rôle, car le silence de son enfant ne lui laisse pas d’autres choix que de chercher par lui-même à décrypter ce qu’il fait. Au moins, il y a une certaine logique derrière cela.

    Jake est, à la différence de son père, froid. Si cela va avec le pitch du show, celui-ci va devoir trouver un moyen d’humaniser rapidement le gamin. Si les nombres sont comme de la douleur pour lui, on ne peut pas dire qu’il semble vouloir réellement l’atténuer, c’est avant tout Martin qui veut absolument établir un lien avec son fils, et c’est une relation qui fonctionne à sens unique. S’il faut réussir à accepter le concept même de la série, il est alors vital de trouver un moyen pour Jake de dépasser son simple rôle de catalyseur pour faire de lui un personnage à part entière.

    Narrativement, ce n’est d’ailleurs pas le seul problème de Touch à ce stade, encore très perfectible. Il apparaît logique que le show opte pour une approche plutôt positive en ces débuts, mais sa volonté d’y mêler des personnes plus corrompues (à l’image du mafieux) entraine l’ensemble dans la mauvaise direction et tend à décrédibiliser l’histoire. Et, comme tout est lié, forcément, l’épisode entier en pâtit. Pour le coup, l’hôtesse de l’air et l’Indien venu éparpiller les cendres de son père est une relation qui fonctionne bien. Elle reste à une échelle modeste et repose sur une thématique familiale simple et qu’il est facile d’appréhender – même si l’épisode aurait pu se faire un peu plus subtil.

    Touch possède une certaine sensibilité qui est loin d’être dépourvu d’intérêt et une approche de l’humanité qui met presque du baume au cœur. Il y a certainement des choses à faire ou à dire, mais il est aussi évident que la série à des réglages à faire pour que cela soit convaincant d’un bout à l’autre. critictoo.com

      

      On s’en doutait, la surprise aurait pu être présente mais pas vraiment. La série Touch nous offrira donc une succession d’épisodes en stand-alone, c'est-à-dire que chaque épisode présentera un "cas de la semaine" et que l’histoire de la semaine sera résolue en fin d’épisode. Ce qui fera donc le succès de la série sera sans doute la façon de réaliser et connecter chaque intrigue de chaque épisode. Et il sera difficile de trouver l’ingrédient qui évitera de tomber dans la "routine mécanique" mise en place chaque semaine. Nous avions été très emballé par l’épisode pilote diffusé en janvier, qui nous avait vraiment fait l’effet d’une claque. L’idée de partir sur différentes intrigues, les recouper au fil des minutes pour au final terminer sur la connexion entre chaque élément de chaque intrigue est très bonne et séduisante. Le problème c’est que, pour ce 2ème épisode, l’effet de surprise se perd un peu, et donc la magie instaurée dans le premier épisode n’est plus aussi efficace dans celui-ci.

    Un point positif c’est la diversité de culture autour des différentes intrigues. L’épisode 2 nous a ainsi fait voyager en Inde, en Russie, etc. Un point qui est définitivement une marque de fabrique du créateur de la série Tim Kring, qui est également le créateur de la série Heroes qui proposait déjà largement un tour d’horizon de diverses cultures et nationalités dans ses personnages. Quant aux acteurs, il n’y a rien à redire sur la performance de Kiefer Sutherland, même si son rôle de Jack Bauer lui colle toujours un peu et forcément à la peau. Et le jeune David Mazouz dans le rôle de Jake est vraiment très très bon. Bien qu’il n’ait aucun dialogue parlé, il arrive parfaitement à retranscrire tout le mal être, le mystère et l’intelligence du personnage de Jake.

    En résumé, l’épisode 2 de Touch est donc très bon, bien que l’histoire globale soit tirée par les cheveux et que la mécanique de la série rend l’épisode forcément moins surprenant et magique que l’impression laissée lors du visionnage du tout premier épisode. Il n’en reste pas moins que tout est ficelé à merveille, et on reconnait que l’exercice est loin d’être facile, donc chapeau aux scénaristes. Le danger et la difficulté reste cependant le même pour les épisodes à venir, à savoir : contourner la similarité de la mécanique mise en place en proposant des intrigues originales et innovantes chaque semaine sans lasser le téléspectateur. Pour le moment ce n’est pas le cas, l’épisode 2 se regarde très bien, et on reste captivé par l’histoire. melty.fr

    In English:
    greenbaypressgazette.com

    thestar.com 
    theyorker.co.uk

    « Le deuxième épisode de Touch contenait des coïncidences qui étaient un peu moins spectaculaires, mais pas moins ridicules. Tout spectateur rationnel aurait poussé des gloussements devant ce spectacle, s’il n’y avait pas une chose – Kiefer Sutherland est incroyable.

    J’avais toujours imaginé que c’était le format et les nombreux cliffhangers qui me tenaient accro à 24 – mais après réflexion, c’était Sutherland. Dans Touch, il est plus facile d’apprécier son magnétisme. Dans un spectacle qui semble s’appuyer sur une niaiserie quasi-religieuse et scientifique pour livrer son message à un monde brumeux, Sutherland apporte de l’humanité, de la vulnérabilité et une énergie gênée qui rend le tout beaucoup plus crédible et plus convaincant qu’il ne l’est vraiment.

    Franchement, je ne m’inquiète pas. Je vais encore regarder – mais seulement pour Sutherland. Touch semble destiné à rejoindre ma liste de spectacles auxquels j’adhère parce que j’aime un acteur ou un personnage ». Posted by Johnny Dee

     guardian.co.uk