• la saison 1 de Touch se finit dans l’indifférence ?

    Les audiences de la saison 1 :

    la saison 1 de Touch se finit dans l’indifférence ?



    Dur finale pour « » qui finit avec 4,6 millions de téléspectateurs, soit 7,4 millions de moins que sa première au mois de janvier !

    Kiefer Sutherland as Martin Bohm. Touch (E12 finale) dans K/TOUCH (saison 1) 654456martine12

    Entourée par des rediffusions et sans American Idol en "moteur", Touch termine sa première saison jeudi 31 mai sur FOX, qui diffusait les deux derniers épisodes. Le public ne fut pas au rendez-vous, la série n’ayant alors rassemblé que 4.6 millions de téléspectateurs, dont 1.3 pt sur les 18-49 ans. (critictoo)

     

    Ce jeudi, il n'y avait des inédits que sur ABC et FOX de 20h à 22h.  A 20 heures, sur la FOX, Touch perd 1.41 million de téléspectateurs et 0.4 point sur les 18-49 ans. Mais elle regagne 80 0000 téléspectateurs et reste stable sur les 18-49 ans pour son deuxième épisode qui était le final de la saison 1.

    La moyenne de la série pour la saison 1 est de 6.02 millions (1.7/5)
    En comparaison Person of Interest (CBS) 13.47 millions (2.5/7) serieviewer.com


     Touch Ratings Fall Big On Finale Night

    There is bad news to report today for fans of Kiefer Sutherland and his new Fox series Touch.  The show ended its first season with dismal ratings last night in the face of very limited competition.   Adding to the pain, the drama only has itself to blame for its woes as Touchwas its own lead in.  Between the two episodes, the drama only managed to scour up a 1.3 rating in the 18-49 demographic with under 5 million viewers–something that may have Fox worried considering it is already down for a second year with the procedural.

    This really is unfortunate because now a cancellation looks likely if the boat does not turn itself around once the fall season starts.  The reason being is that the long-gestating 24 movie was supposed to shoot in the summer; however, Touch’s dibs on its leading man caused the movie to be delayed given that things would have had to been rushed.  Now, it would appear as if delaying the return of Jack Bauer was rather pointless.

    While I am talking like the show is already dead, it is important to realize that this was the end of the May (typically a bad time for original scripted programming,) and that second seasons often turn shows around.  Such negative comments regarding the fate of this program are based on the industry’s past and not necessarily the show in question.  That said, take the speculation with a grain of salt as the cancellation only appears like a certainty from an outsider looking in.

    In case you were curious how Duets did, the Kelly Clarkson-lead singing competition series is still under performing with a 1.5 18-49 and less than 6 million viewers.  This is considering ‘okay’ for unscripted offerings in the summer, but it is obviously not what ABC sought when enlisting four credible musicians to try to branch out their reality programming which currently consists of dancing and Bachelor-themed shows. mediamarketjournal.com

    la saison 1 de Touch se finit dans l’indifférence ?


    Retrouver Kiefer Sutherland dans une nouvelle série TV, les fans sont ravis. Et malgré un personnage devenu mythique, Jack Bauer, qui lui colle toujours à la peau, cette nouvelle série s’annonce prometteuse avec Kiefer comme acteur vedette de la Fox.

    Le pilote de Touch annonce la couleur de la série avec force et ambition, mais au fil des épisodes, on est obligé de constater que la série n’est pas toujours à la hauteur. Trop d’histoires parallèles niaises et sans vraisemblances nuisent à la série et génèrent même de l’ennui, cassant la cohérence de l’ensemble. Certaines auraient mérité un prolongement sur plusieurs épisodes, là on reste sur le vite fait, bien fait pour justifier cette inter connectivité entre les êtres, thème de la série. Ça traine en longueur… La série fait appel à de bons sentiments, c’est sympathique, touchant, un brin moralisateur, mais un manque de consistance lui fait cruellement défaut. Les Happy End sont assez forcés mais l’ensemble et malgré tout divertissant.

    Je regrette que la relation entre Jake et Martin ne soit pas un peu plus développée, comme un fil conducteur fort et omniprésent. Et le mystère autour d’Amelia est trop étiré en longueur, on s’ennuie ! Les derniers épisodes sont beaucoup mieux maitrisés, nous offrant même des cliffhanger qui nous donnent envie de voir la suite. On voit apparaître aussi dans les derniers épisodes un « previously » bienvenu et donnant à la série un peu plus d’épaisseur. Touch n’est cependant pas une série feuilletonnante.

    Les acteurs sont tous excellents et la réalisation toujours de très bonne qualité. De belles images, un vrai effort sur l'esthétique de cette série.

    Kiefer Sutherland en tête, fidèle à lui-même est formidable dans le rôle de Martin Bohm. David Mazouz dans le rôle de Jake (le fils de Martin) est vraiment convaincant, un rôle muet car Jake ne parle pas mais son talent d’acteur nous montre tout le mal-être, et l’intelligence de Jake.

    Comme dans Heroes qui s’est perdu au fil des épisodes, Tim Kring a toujours tendance à vouloir faire compliqué et on s’y perd… Là encore on a eu un très bon démarrage, de l’originalité et une intrigue brillante mais la série s’est très vite enlisée.

    La première saison de Touch a donc réunit par moment ennuie et confusion. Mais avec la Finale en deux parties « Gyre », la série trouve une nouvelle dimension et montre (on l’espère) ce que la série devrait être dans la deuxième saison. Et même si la Fox a déplacé la série au vendredi soir, une case très difficile, on se rappelle, il y a quelques années, de X-Files qui avait fait de bonnes audiences sur cette même case.

    J’espère que la série va se bonifier et j’attends avec impatiente la saison 2. Il y a de bons ingrédients et le concept est séduisant et original. Une intrigue de fond qui commence à bien se mettre en place … Reste à captiver davantage le téléspectateur.


    la saison 1 de Touch se finit dans l’indifférence ?

    "Fini de déjouer des complots : Kiefer Sutherland joue le papa d'un enfant autiste au don exceptionnel. Un changement de style qui montre une autre facette de l'acteur.

    ...Des individus inexplicablement liés entre eux, de Tokyo à Bagdad, des Etats-Unis à la Russie, parfois jusque dans leur survie même ? Dès le premier épisode, on pense à une autre série, Heroes. Rien d'étonnant à cela : Touch est le fruit de l'imagination du même Tim Kring. On y retrouve ses obsessions. Et la même complexité : bien que les épisodes soient relativement indépendants, la moindre inattention au sein d'un même épisode est fatale pour la compréhension. Réjouissante pour l'esprit, Touch est une série exigeante.

    Elle permet aussi de découvrir Kiefer Sutherland dans un autre registre, plus fragile, moins matamore..." lesoir.be (Belgique)


    "...les épisodes reposent sur deux, trois voir quatre niveaux d’intrigue qui vont se croiser, mais pas forcément à la fin, créant ainsi quelques surprises réjouissantes. La base de la série n’est donc déjà pas si mal, mais il faut y adjoindre un feuilletonnant très “calme”, qui sait bien se planquer comme un renard mais qui s’avère franchement prenant et qui vous entraîne avec la banane dans le double épisode de fin. La réalisation est quant à elle plus qu’honnête et les acteur, Sutherland en tête, semble vraiment aimer le programme et donc vouloir donner leur maximum. Reste la grande inconnue : c’est du Tim Kring, et on sait à quel point son Heroes est rapidement parti en sucette. Avec seulement treize épisodes au compteur, Touch a de quoi convaincre, mais saura-t-elle toujours autant nous enthousiasmer l’année prochaine ? Les auteurs peuvent-ils faire plus que treize épisodes et rester bons sur une telle base ? C’est ce qu’on verra.

    Peu ou pas du tout attendue, Touch s’avère une excellente surprise : bien conçue, préparée avec un amour certain, elle ne cherche jamais à provoquer ou à se différencier et, en cela, trouve sa propre identité ! Alors oui, si les happy endings vous font vomir, vous risquez de vous énerver devant la dernière production de Tim Kring. Mais si un certain optimiste ne vous dérange pas, et surtout si vous aimer le travail vraiment bien fait, alors Touch peut être un vrai bon moment à passer. En tout cas, moi, je suis sous le charme !"  spoilersinside.net


     la saison 1 de Touch se finit dans l’indifférence ?

    Le Monde.fr (8 juin 2012)

    Ce n'est évidemment pas la série de l'année, et Tim Kring (le père de Heroes) exploite un peu lourdement la relation père-fils, mais Touch offre une narration cohérente dotée d'éléments feuilletonnants suffisamment complexe et mystérieux pour retenir l'attention au-delà du "cas de la semaine". L'idée de complot est, bien sûr, venue s'ajouter au récit de départ: un homme, Martin Bohm (Kiefer Sutherland), ancien journaliste qui fait divers petits boulots et dont la femme est morte dans l'effondrement des tours du World Trade Center le 11 septembre 2011, tente d'élever seul son fils Jake (David Mazouz) âgé de 11 ans.

    L'enfant, que l'on pense autiste, n'a jamais prononcé la moindre parole, refuse qu'on le touche, mais s'exprime à l'aide de séquences de chiffres qu'il inscrit dans un cahier et qui sont autant d'indices permettant d'éviter un événement tragique à celui qui saura les décrypter. Pour faire court, Jake est capable de discerner les grandes tendances (invisibles à la quasi-totalité des humains) qui régissent le fonctionnement de l'univers et s'arrange pour que l'équilibre ne soit pas rompu en réunissant des êtres séparés par les aléas de l'existence. On retrouve la notion de "village global" chère à Tim Kring, avec un rapprochement des continents, de nombreuses scènes en langues étrangères, et l'accent mis sur une possibilité de communiquer sans précédent et une capacité à s'influencer les uns les autres jusqu'alors inconnue grâce aux nouvelles technologies.

    Cette mondialisation de la communication est symbolisée par un téléphone portable qui passe de mains en mains et qui semble faire le tour de la planète un peu au gré des hasards, créant un lien entre tous ceux qui, à un moment ou à un autre, l'ont récupéré avant de le transmettre. Le message est assez clair: nous appartenons à une seule et même espèce et quelles que soient nos différences, il est dans notre intérêt de nous entendre, de collaborer, d'utiliser les talents d'autrui et de mettre les siens à sa disposition.

    Cette grande "communion" se fait évidemment par le dialogue, au-delà de la barrière de la langue. Il y a un intéressant effet d'image inversée entre tous ces humains qui entretiennent des relations les uns avec les autres et Jake qui est (presque) le seul à ne pas parler, son silence étant lié à son état de gardien de l'équilibre du monde. Il est simplement à l'écoute, et son père attentif devient son instrument pour atténuer les souffrances des âmes en peine.

    L'autre intérêt de la série est de s'interroger sur la place des chiffres dans notre monde. Numb3rs avait tenté de faire cela au travers d'enquêtes policières. Touch va plus loin. Le sentiment est que les nombre ont remplacé les lettres, ils ont servi à tout étiqueter, noter, évaluer d'une manière simple et réductrice, ils ont envahi notre quotidien avec parfois des effets bénéfiques liés à cette simplification. Mais ils ont surtout permis d'évacuer les mots, de réduire les explications, de limiter (en forçant le trait) la réflexion à un processus binaire entre bon et mauvais, acceptable ou non, utile ou pas.

    On peut regretter que la parole, les lettres perdent peu à peu leur place dans l'expression de la pensée, car ce sont elles qui assurent la transmission d'un sens complexe, subtil et nuancé. Avec Touch, les nombres retrouvent eux aussi cette complexité, ils se traduisent en énigme qui vont exiger la recherche de réponses s'incluant dans une ensemble plus large et qui exige une forme d'imagination.

    Pas la série de l'année donc, par moments un peu tire-larmes, mais une narration plutôt bien menée qui permet de retrouver Kiefer Sutherland dans un registre de figure protectrice, cette fois ultra-sensible et non-violente, ce qu'il fait plutôt bien.

    la saison 1 de Touch se finit dans l’indifférence ?

    Final thoughts 2012: Touch finale improves despite the widening ‘Gyre’

    Thursday Night on FOX’s finale of Touch titled “Gyre”, Martin Bohm (Kiefer Sutherland) and Abigail Kelsey (Catherine Dent) join forces as the Aster Corporation increases their interest in Jake and looms over turning the tide against Martin’s custody battle for the boy. As Martin begins to lose his grasp over his custody over his son, he passionately sets out to find a way to flee the Aster Corporation, save his son and head for California. Also enter a new piece of the number-puzzle as Lucy (Maria Bello) waits on a beach for someone who may or may not tie into Jake. So how did the season finale of Touch fare? 

     

    From an evil giant corporation called The Astor Corporation to a bit more of a clear concise maneuvering of the side stories and ‘cases of the week’ verging to one focal point, a lot has changed since the beginning of Touch to the final moments of the season one finale “Gyre”.

    When we last reviewed Touch, it was the third episode “Safety in Numbers” where this examiner noted how he had become frustrated with the series. To quote the general sum of the review and my problem with the series:

    “-it is to point out that as an on-going story, one could say the show hasn’t tipped it’s hand but I’d go on to say Touch hasn’t even told us what game we’re playing yet. As a viewer that leaves me very frustrated. There are hints to something more beating beneath Touch’s puckish exterior, and until Kring allows the series to declare itself to what it really is, the show could be a mixed bag as it stands to be right now.”

    It should be said simply put, that perhaps three episodes is not enough.

    While the general idea of a case of the week network TV doesn’t excite me as the entire market is saturated with these kind of shows, the concept behind Touch was an interesting one but it felt too slow. There was also the problem of the showrunner Tim Kring who left me with horribly little faith in the execution of the series due to his mismanagement of the series Heroes on NBC years previous. As such, when each Thursday night came and went, new episodes of Touch sat on the DVR untouched before finally it was given the boot. The lack of faith in Kring plus the general lack of interest the show achieved finally gave one reasons to give it the boot from the DVR.

     

    Upon giving the show another show via the season one finale “Gyre”, the mythology of the series has now come to ahead, discussing things that weren’t officially there in the beginning three episodes of the series and makes one who gave up so easy on the show a real sense of regret for not sticking around longer. Also as per other reviews, the loss and death of the character of Arthur Teller (played by Danny Glover) was also shocking and surprising. What is interesting is that the title of the show itself, “Gyre” is very representational of the entire series, in terms of plot, story, and story-based mythology within the context of the show.

     

    In terms of the story-based mythology within the show itself, a lot of the numbered charts equal out to a swirl or gyre-like connect the dots a few times in the first three episodes. No one, including Martin, knew what they meant besides ‘Jake is trying to tell me something’. In a way, the show was trying to tell us viewers something too. For those who aren’t aware, the definition of gyre as per wikipedia states “A gyre is any manner of swirling vortex, particularly a natural phenomenon”. The beginning of the gyre drawings and graphs within the show start very far away from the center of the vortex and end point of the gyre; the show took its time to tell its story and have everything come together. Ironically there were talks of gyres in the show with a storyline featuring Lucy (Bello) on the beach with a man who is scientifically studying gyres, whirlpools and the like.

     

    As the figurative vortex begins to suck Martin and Jake down, can they keep their heads above water? The Astor Corporation apparently is the big bad of the series and will do anything to get Jake, including bribing the children’s home that currently watches over Jake. They also took a bunch of research that Teller had given to Abraham (Bodhi Elfman). With Clea (Gugu Mbatha-Raw) choosing a side possibly against Jake and Martin, how will Martin’s plan to sneak Jake to California go? While that would be spoiling it too much, let us just say they clearly set up season two.

     

    So how did the series Touch fare for its first season? It started off really slow. So much so that it was easy to poke fun of it. Jokingly on twitter I had tweeted ‘should I even bother watching and reviewing #Touch?’ which prompted the official Touch twitter feed to call me on calling out the show like that. No one ever wants to review a show to just poo-poo over it, but I hesitantly gave the finale a look-see and this examiner is glad he did. While there is still skepticism over the idea that Kring could still guide the show into unwanted territory, it felt as if Kring achieved what he wanted to do the first go around with Heroes which is tell a series of vignettes that all tie together. While Heroes the mistake was to not give us one singular titular character until the audience loved everyone making Kring go against his initial plans of using a new cast and focal point every season, with Touch it feels more akin to what he wanted to do the first time, and it seems FOX is going to allow him to do that. And the first season Kring actually pulled it off despite such a slow start, but that is what this examiner feels was the plan all along. If Kring can continue down the same path he has gone here with the slow pace that actually adds up to something in the end, then I think that Touch will continue to be a wonderful show. examiner.com

    Si Kring peut continuer sur le même chemin où il est allé ici avec la lente progression qui ajoute réellement quelque chose à la fin de la saison, alors je pense que Touch continuera d'être un spectacle merveilleux.